Rencontre avec François de Tarragon, Directeur international du Groupe CHIMIREC

Rencontre avec François de Tarragon, Directeur international du Groupe CHIMIREC

En septembre dernier, François de Tarragon a pris ses fonctions de Directeur international du Groupe CHIMIREC, en charge du pilotage et de la mise en œuvre de la stratégie de développement du Groupe hors de l’Hexagone.

Cet ingénieur en physique et géophysique, diplômé d’un master en affaires internationales, apporte au Groupe son expérience de plus de quinze ans à l’international et de plus de trente ans dans le secteur de l’environnement.

3 questions à François de Tarragon :

Quelles furent vos motivations pour intégrer le Groupe CHIMIREC ?

” Depuis longtemps déjà, je connais le Groupe CHIMIREC, aussi bien son histoire que son expertise dans le domaine de la gestion des déchets.
À plusieurs reprises, j’ai eu l’occasion de rencontrer certains de ses collaborateurs ainsi que Jean Fixot, le président du Groupe. J’ai toujours apprécié les valeurs de proximité et de loyauté défendues par cette entreprise et avec lesquelles je me sens en parfait accord.
Et aussi, ce leitmotiv permanent de développement qui règne au sein du Groupe CHIMIREC, c’est très dynamisant ! Tout concourait à ce que j’ai envie de rejoindre l’équipe de CHIMIREC, d’autant plus que la mission qui m’est confiée se joue sur le terrain international, une vraie motivation que j’avais délaissé ces dernières années pour des raisons familiales.”

Comment définiriez-vous le fil conducteur de votre parcours professionnel ?

”Outre mon profond intérêt pour le secteur de l’environnement, j’identifie deux moteurs essentiels à ma vie professionnelle. Primo, la notion d’utilité et de progression, le besoin d’apporter du mieux, de trouver des solutions toujours plus performantes qu’il soit question des équipes avec qui je travaille, des entreprises clientes et de leurs besoins. Faire progresser, améliorer est pour moi une nécessité. Secundo, la notion de convivialité, on travaille bien quand on aime ce qu’on fait et qu’on le fait dans une bonne ambiance avec l’envie de travailler ensemble dans la bonne humeur, le respect, le challenge motivant. Cette dimension est essentielle. Je ne saurais pas travailler sans avoir le sourire en pensant à ce que je fais  !”

Quels sont vos premiers projets en tant que Directeur international du Groupe CHIMIREC ?

” Mon arrivée dans l’entreprise a lieu dans ce contexte très spécifique de la pandémie. Aussi, je ne peux me déplacer comme je le souhaiterais sur toutes les filiales à l’international. Néanmoins, j’essaie d’entrer au plus vite en contact  avec les équipes locales afin d’appréhender et de bien comprendre leurs identités respectives et les spécificités de leurs métiers. Dans un premier temps, je vais m’attacher avec les équipes en place à finaliser nos implantations les plus récentes, notamment au Maroc et en Arabie Saoudite, et à ouvrir de nouvelles perspectives de développement. Puis, je vais poursuivre la stratégie de développement initiée par le Groupe CHIMIREC en étudiant les opportunités d’implantation dans d’autres pays européens.”

En conclusion, une dernière question… Quelle est votre vision de la gestion des déchets au niveau planétaire ?

” Tout comme en France, la priorité de CHIMIREC à l’étranger est de respecter les plus hauts niveaux d’exigences requis en matière de Qualité-Sécurité-Environnement. Dans certains pays, il va falloir mettre en place des process de travail qui vont au-delà des normes locales actuelles. Quant à ma vision plus globale de la gestion des déchets de demain, je crois en la notion de proximité, avec le développement de petites structures géographiquement proches des producteurs de déchets. Ce fut d’ailleurs le choix de développement pris par Jean Fixot sur le territoire français et qui, de mon point de vue, est la meilleure stratégie. Il nous faut privilégier les circuits courts basés sur des initiatives locales conjugées avec des process plus industriels qui assurent la suite du traitement des déchets. Seul ce partenariat peut assurer la viabilité économique de la démarche tout en évitant la méga centralisation qui serait néfaste.”

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